Que les contrastes ont un sens :
On n’apprécie les vacances
Qu’à leur transition.
Sans travail, sans horaire,
Sans délai à respecter,
Comment en apprécier le salaire,
Ces moments tant attendus de liberté?
Pour la deuxième fois,
Un confinement renforcé,
Mais, cette fois, pas le choix,
Il faudra continuer à travailler.
Rassurée d’éviter les risques,
Mais découragée avant même
D’avoir commencé la rixe…
Vivement la fin de semaine!
Vivement la relâche!
Si elle aura lieu,
Car si le temps se gâche,
On peut lui dire adieu!
Heureusement, ma vie va,
La santé, l’amour, le confort,
Une certaine stabilité, on a.
L’hiver, le pauvre, encore,
Sera escamoté,
Celui-là, c’est le mot de l’année!
Le printemps, toutefois,
Heureusement pour nous,
Sera plus doux à trois,
À quatre, avec notre minou!
M.B.